Je crois me souvenir d’avoir promis une playlist complète des musiques et livres cités dans mon nouveau livre : je dois être paresseux car je n’en ai établi que la moitié, avec l’aide de ma discothèque, de ma bibliothèque et de Wikipedia. Je n’ai pas toujours mentionné les auteurs des chansons : pour les Beatles (dont les albums Sgt. Pepper’s Lonely Hearts Club Band et le double White Album reviennent de façon obsessionnelle), pas besoin d’être un érudit pour savoir qu’elles sont le plus souvent signées Lennon/McCartney et pour les Rolling Stones Jagger/Richards.
PLAYLIST (part1)
Yesterday ,The Beatles, 1965.
Yesterday, Haruki Murakami dans Des hommes sans femmes ( traduction française éditions Belfond, 2017)
Manuel, Épictète (traduction française collection GF)
The Memory Chalet ,Tony Judt, (Penguin Press, 2010) ; pas d’édition, française à ma connaissance.
Don’t Let Me Down, The Beatles, 1969 (la face B du single de Get back, enrichie comme le titre vedette par le son du piano électrique tenu par Billy Preston)
Ne me quitte pas, Jacques Brel, 1959 ; nombreuses reprises dont celle de Nina Simone (1965)
Maxwell’s Silver Hammer, The Beatles, 1969 (Abbey Road)
Die Hard, cinq films avec le gigantesque Bruce Willis
Helter Skelter, The Beatles, 1968 (White Album)
Tell Me Why, The Beatles, 1964 (A Hard Day’s Night)
Norwegian Wood, The Beatles, 1965 (Rubber Soul)
Voir aussi le merveilleux roman du même titre du jeune et encore peu connu Haruki Murakami, traduit en français par Rose-Marie Makino-Fayolle sous le titre La Ballade de l’impossible (collection 10/18)
Peggy Sue, Buddy Holly,1957
Knocking on Heaven’s Door, Bob Dylan,1973. ( B.O. du film Pat Garrett et Billy le Kid)
Revivre, Guy Corneau (édition originale aux éditions de l’Homme/Versilio, édition poche collection J’ai Lu/Flammarion)
Do You Want to Know a Secret ? The Beatles, 1963 (Please Please Me)
Good Morning, Good Morning, The Beatles, 1967 ( Sgt. Pepper’s)
Good Day Sunshine, The Beatles, 1966 (Revolver)
A Confederacy of Dunces, John Kennedy Toole, traduction française de Jean-Pierre Carasso, La Conjuration des imbéciles (éditions Robert Laffont, 1981, rééd. poche collection 10/18)
I’m So Tired, The Beatles, 1968 (White Album)
Le Magicien d’Oz, film de Victor Fleming avec Judy Garland (1939)
A Hard Day’s Night, The Beatles, 1964 (album éponyme[1])
I Am Not Dead Yet, tiré de la comédie musicale Spamalot (2005), adaptée du chef d’oeuvre des Monty Python, Monty Python and the Holy Grail ( Monty Python : Sacré Graal, 1975)
Back On The Chain Gang, (Chrissie Hynde),The Pretenders, 1982,
Sympathy for the Devil, (Jagger/Richards), The Rolling Stones, 1968 (Beggars Banquet)
Fixing a Hole, The Beatles, 1967 (Sgt Pepper’s)
I Will Survive, Gloria Gaynor,1978
Tales of Brave Ulysses, Cream, 1967 (Live Cream vol. 2)
L’Incroyable et triste histoire de la candide Erendira et de sa grand-mère diabolique, Gabriel Garcia Marquez, édition française Grasset,1977 (disponible dans la collection Les Cahiers Rouges)
Take me Out to the Ball Game (Jack Norworth/Albert Von Tilzer)
Cet hymne non officiel du baseball a été compose en 1908 par un parolier et un musicien qui n’assistèrent à leur premier match qu’une trentaine d’années plus tard… Enregistrement original sur cylindre d’Edward Meeker (1908). Une version modifiée de 1927 est chantée par Frank Sinatra et Gene Kelly au début de la comédie musicale éponyme (1949). Versions par Dr. John et Carly Simon pour la série télévisée Baseball du documentariste Ken Burns
Midnight Rambler, The Rolling Stones, 1969 (Let It Bleed)
Le Portail, François Bizot, préface de John Le Carré, première parution aux éditions La Table Ronde, 2000. Edition révisée en format de poche collection Folio/Gallimard. Nouvelle édition révisée avec cahier photos à l’occasion de la sortie de l’adaptation filmée Le Temps des Aveux de Régis Wargnier (Versilio, 2014)
Du même auteur à lire l’étrange et poignant roman Le Saut du Varan (Flammarion, 2006, disponible au format de poche en collection Folio/Gallimard)
Et ardu mais indispensable, Le Silence du Bourreau (Flammarion/Versilio, 2011)
Dear Prudence, The Beatles, 1968 (White Album)
My Left Foot, livre de Christy Brown adapté au cinéma en 1989 par Jim Sheridan avec Daniel Day-Lewis (Oscar du meilleur acteur dans un rôle principal)
Comme ils disent, Charles Aznavour, 1972
Better Call Saul, série Netflix (dérivée de Breaking Bad) créée par Vince Gilligan et Peter Gould, avec Bob Odenkirk dans le rôle principal (3 saisons de 2015 à 2017)
Tout ce qui n’intéressait pas Freud, Philippe Presles, (Robert Laffont, 2011)
Pale Blue Eyes, (Lou Red), Velvet underground, 1968
Her Majesty, The Beatles, 1969 (Abbey Road)
Sunshine of Your Love, Cream, 1967 (Disraeli Gears)
Susanna, The Art Company, 1983
The Boss, Diana Ross, 1979
I’ll be Your Mirror, the Velvet underground, andNico, 1967
Leonard est un génie, série de bandes dessinées créée par Bob de Groot (plus de 40 volumes parus aux éditions Dargaud, Appro et Le Lombard)
Sexy Sadie, The Beatles, 1968 (White Album)
Roll over Beethoven, Chuck Berry, 1956 (mon année de naissance, of course)
Carry That Weight, fait partie avec Golden Slumbers du medley où figure l’unique solo de batterie de la carrière de Ringo Starr, The Beatles, 1969 (Abbey road)
Les Trompettes de la renommée, Georges Brassens, 1962 (album éponyme)
White room (Jack Bruce/Pete Brown), un des titres signatures du légendaire groupe Cream,1968 (Jack Bruce/Eric Clapton/Ginger Baker).
From me to you , 3e 45 tours des Beatles,1963
Stool Pigeon, Kid Creole & the Coconuts, 1982
Les Deux pigeons, Jean de La Fontaine, Fables livre IX
Ebony and Ivory, Paul McCartney, Stevie Wonder et Paul Mc Cartney, 1982
Remember my name, premier album du chanteur hip hop Lil’ Durk, 2015
Rain, The Beatles, 1966, face B du 45 tours avec Paperback Writer
Game of Thrones, série créée par David Benioff et D.B. Weiss à partir de la série de livres de fantasy de George R.R. Martin
Il y a plein de saisons mais avec Susanna on n’a vu que deux épisodes de la saison 1 et on s’est arrêtés – on a sûrement tort mais c’est comme ça…
ZZ Top. Les vrais fans n’ont pas besoin de recommandations pour leur choix de chansons des célèbres barbus créateurs de La Grange – pour les autres un Best of suffira…
Everybody’s Got Something to Hide Except Me and My Monkey, The Beatles, 1968 (un des titres typiquement “lennoniens” de l’album blanc)
You Gotta Move. Plusieurs versions enregistrées de ce classique à l’auteur anonyme, dont Sam Cooke (You send me, Chain Gang, A Change is Gonna Come) et « Mississipi » Fred Mc Dowell, mais c’est l’enregistrement des Rolling Stones (1969, puis sur l’album Sticky Fingers de 1971) qui popularise ce vieux blues/gospel
ACDC. Célèbre groupe de rock à acronyme : alternating current/direct current ( apparemment les frères Young ont trouvé que ça collait bien avec leur genre de beauté hardeuse.)
Revolution, les deux versions des Beatles, 1968 (la face B du 45 tours de Hey Jude et la version plus lente de l’album blanc)
Manifeste du parti communiste, Karl Marx et Friedrich Engels, 1848
Eight Days a Week, The Beatles, 1964 (Beatles for Sale)
Pierrot le Fou, film écrit et réalisé par Jean-Luc Godard avec Jean-Paul Belmondo et Anna Karina (1965)
Feeling Groovy, (Paul Simon) : Simon et Garfunkel, 1966 ( Parsley, Sage, Rosemary and Thyme)
La Découverte de la lenteur, Sten Nadolny (1983. Traduit de l’allemand par Jean-Marie Argelès, collection les Cahiers Rouges/Grasset, 2008)
Je l’avais lu, à l’époque, mais trop vite. Je viens d’en recommencer la lecture, lentement comme il se doit.
Be Bop A-Lula, Gene Vincent, 1956 (encore, toujours!)
Porque te vas (Jose Luis Perales). Enregistré par la chanteuse Jeanette (1974) et popularisé par le film de Carlos Saura, Cria cuervos (1976)
Le Noyé le plus beau du monde, Gabriel Garcia Marquez, 1968 (titre original : El ahocado mas hermoso del mondo ) Nouvelle tirée du recueil L’Incroyable et triste histoire de la candide Ereendira et de sa grand-mère diabolique, op.cit.
I Saw Her Standing There, The Beatles, 1963 (Please Please me)
L’itinérant. Journal de rues fondé en 1994 par Rodolphe Clauteaux
L’Homme debout, Frédéric Tissot, écrit avec Marine du Tilly (éditions Stock, 2016, préface de Bernard Kouchner)
Walking on the Moon, (Sting), The Police, 1979 (Reggatta de Blanc). Deuxième single du groupe après Message in a Bottle.
La Graine et le Mulet, film d’Abdellatif Kechiche (2007)
China Girl, (David Bowie/Iggy Pop). Premier enregistrement sur l’album solo d’Iggy produit par Bowie The Idiot (1977)
Reprise par Bowie pour son album Let’s Dance (1983)
King of Pain (Sting), The Police, 1983 (Synchronicity)
Up Around the Bend, (John Fogerty) Creedence Clearwater revival, 1970 (Cosmo’s Factory)
You Won’t See Me, The Beatles, 1965 (Rubber Soul)
Octopus’s Garden, (Ringo Starr), The Beatles, 1969 (Abbey Road)
Hello I Love You (Won’t you tell me your name ?), The Doors, 1968 (Waiting for the Sun)
With God on Our Side, Bob Dylan,1964 (The Times, They Are a-Changin)
Allah n’est pas obligé, génial livre d’Ahmadou Kourouma, également auteur d’En attendant le vote des bêtes sauvages, éditions du Seuil, 2000 (édition de poche collection Points)
Long Time Gone, (David Crosby), Crosby, Stills & Nash, 1969 (Crosby, Stills & Nash)
I’ll Cry Instead, The Beatles,1964 (A Hard Day’s Night)
They all laughed, (George & Ira Gershwin), créé par Fred Astaire dans le film Shall We Dance,1937
Yellow Submarine,The Beatles, 1969 (B.O. du film)
Redemption Song, Bob Marley and the Wailers, 1980
Holy motors, film de Leos Carax (2012) avec Denis Lavant
Body and soul. Standard de jazz composé en 1930 et rendu célèbre par de nombreuses versions, dont celles de Billie Holiday et Sarah Vaughn.
California dreamin’, (John & Michelle Phillips), The Mamas and the Papas, 1965
Strawberry Fields Forever, The Beatles, 1967, face B du single Penny Lane
Julia, The Beatles 1968, album blanc (la face tendre des souvenirs de John Lennon sur sa mère ; plus amère sera Mother, quelques années plus tard)
Boston Legal, série télé américaine (2004-2008) créée par David E. Kelley
Strangers in the Night, (Kaempfert/Singleton-Snyder), Frank Sinatra, 1966
J’ai Rendez-vous avec vous, Georges Brassens, 1952
My Old Pals, Kim Carnes, 1981 (Mistaken identity)
Le Patient anglais,roman de Michael Ondaatje (1996) puis film d’Anthony Minghella avec Ralph Fiennes et Juliette Binoche
Bridge over Troubled Water, (Paul Simon), Simon & Garfunkel, 1970 (album éponyme)
Fever, (Eddie Colley/Otis Blackwell). Premier enregistrement de Little Willie John en 1956 mais c’est Peggy Lee en 1958 qui rendra le titre célèbre
Girl, The Beatles, 1965 (Rubber Soul)
Paperback Writer, The Beatles, 1966 (face B, Rain)
Dr. Robert, The Beatles, 1966 (Revolver)
Long Train Running, (Tom Johnston), the Doobie Brothers,1973 (The Captain and Me)
Station to Station, David Bowie, 1976 ( 2e chanson de l’album éponyme)
Les Sopranos : série télé créée par David Chase et diffusée entre 1999 et 2007 (86 épisodes en six saisons plus un épilogue)
Dancing in the Street,(Stevenson/Hunter/Marvin Gaye). Premier tube de Martha and the Vandellas (1964) ; de nombreuses reprises dont celle Mick Jagger et David Bowie pour le concert Live Aid (1985)
Obladi Oblada,The Beatles, 1968 (White Album)
I’m Walking, Fats Domino, 1957
Day Tripper, The Beatles,1965
Chacun fait ce qu’il lui plait, Chagrin d’amour, 1981
We Can Work it out, The Beatles, 1965, en double face A avec Day Tripper
Soul Kitchen, TheDoors, 1967 (The Doors)
Walkin’ Down the Line, Bob Dylan, 1962
Run for your life,The Beatles, 1965 (Rubber soul)
Wait,TheBeatles, 1965 (Rubber Soul)
Voix bulgare. Les oeuvres de Tzvetan Todorov sont publiées chez divers éditeurs. Une sélection personnelle :
La Découverte de l’Amérique (Le Seuil, 1982)
Nous et les autres (Le Seuil, 1989)
Face à l’extrême (le Seuil, 1991 – ces trois titres en collection Points comme sa classique Introduction à la littérature fantastique)
Benjamin Constant : la passion démocratique (Hachette, 1997)
Le Jardin imparfait, essai sur la pensée humaniste (Grasset, 1998)
Mémoire du mal, tentation du bien (Robert Laffont, 2000)
Devoirs et Délices. Une vie de passeur, entretien avec Catherine Portevin (Le Seuil, 2002)
Les Abus de la mémoire (Arléa, 2004)
Les Aventuriers de l’absolu, (Robert Laffont, 2006)
L’esprit des Lumières (Robert Laffont, 2006)
La Littérature en péril (Flammarion, 2007)
La Peur des Barbares (Robert Laffont, 2008)
La Signature humaine : essais 1983-2008 (Le Seuil, 2009)
L’Expérience totalitaire : la signature humaine (Le Seuil, 2010)
Georges Jeanclos (Galerie Capazza et Biro & Cohen éditeurs, 2011)
Goya à l’ombre des Lumières (Flammarion, 2011)
Les Ennemis intimes de la démocratie ( Robert Laffont – Versilio, 2012)
Insoumis (Robert Laffont – Versilio, 2015)
Le Triomphe de l’artiste. La révolution et les artistes. Russie : 1917-1941, (Paris, Flammarion -Versilio, 2017)
Le Siècle des Totalitarismes (collection Bouquins/ Robert Laffont)
Ses « textes de circonstances » – qui sont bien mieux que cela – sont rassemblés sous le titre Lire et Vivre (Robert laffont, 2018, préface d’André Comte Sponville)
A noter sa merveilleuse édition des écrits intimes de Marina Tsvetaeva, Vivre dans le feu, traduction de Nadine Dubourvieux ( Robert Laffont, 2005 / réed au Livre de Poche, 2008)
A Day in the Life, The Beatles,1967 ( Sgt Pepper’s)
Ce chef d’oeuvre est également le titre d’une des histoires écrites par Jean- Dominique Bauby pour son livre.
Le Scaphandre et le papillon, Jean-Dominique Bauby (Robert Laffont,1997, rééd. 2007). Film de Julian Schnabel avec Mathieu Amalric (2007)
Voir aussi Assigné à résidence, le documentaire de 27 minutes de Jean- Jacques Beineix réalisé pour France 2 à la sortie du livre en 1997.
I’m Only Sleeping,The Beatles, 1966 (Revolver)
Born to Be Wild , (Mars Bonfire), Steppenwolf 1968 – la chanson du générique du film Easy Rider (1969, démodé mais culte quand même grâce à la B.O. et aux motos)
Wild Honey Pie et Why Don’t We do It on the Road, The Beatles, 1968 (encore deux titres lennoniens du célébrissime double blanc)
Beat It, Michael Jackson, 1983 (Thriller)
[1] J’adore le mot « éponyme » : si je pouvais, « Eponyme » serait le titre de mon prochain livre.