L’OBS

18 juin 2015

« Rythmé par une bande-son très rock (…) peuplé d’écrivains-frères, de Supervielle à Philip Roth, de Modiano à Saul Bellow, et porté de bout en bout par l’irrépressible désir des femmes, ce roman vasculaire et vernaculaire d’Antoine Audouard, qu’on pourrait croire tourné uniquement vers le passé, s’oriente au contraire vers l’avenir. » – Jérôme Garcin